Dieu pardonne !

Quand on apprend que l’on a transgressé la volonté de Dieu et que le péché entraîne la séparation d’avec Dieu, quelle joie de savoir que DIEU PARDONNE !

Oui, Dieu pardonne, mais comme pour toutes les bénédictions de Dieu, son pardon est conditionnel. On doit se soumettre à la volonté de Dieu afin d’obtenir son pardon (Hébreux 5.9). L’homme ne peut pas formuler ses propres conditions de salut (Romains 10.1-3). Dieu est l’offensé ; c’est donc à lui de fixer les conditions de pardon. Il a ordonné que :

1. Si une personne croit en lui et en son Fils Jésus-Christ (Hébreux 11.6; Jean 3.16), et

2. Si celui qui croit se repent de ses péchés (Actes 17.30), ce qui veut dire une transformation de la volonté et de la conduite, pour les rendre conformes à la volonté et à la Parole de Dieu, et

3. Si cette personne confesse Jésus-Christ comme le Fils de Dieu, le Seigneur et le Souverain de sa vie (Actes 8.37; Romains 10.10), et

4. Si cette personne se fait baptiser dans l’eau (par immersion), au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit (Matthieu 28.18,19), pour la rémission de ses péchés, elle sera sauvée (Actes 2.38).

Les quatre actes d’obéissance cités ci-dessus sont indispensables au salut. Chacun d’eux fait avancer le pécheur sur la voie du pardon, mais ses péchés ne sont pas effacés avant le « lavement » par le baptême (Actes 22.16). Ce n’est pas l’eau elle-même qui sauve du péché, mais le sang de Christ (Apocalypse 1.5), à condition d’être enseveli avec lui dans la conformité à sa mort (Romains 6.3-5).

Quand une personne croit en ce que dit l’Évangile, se repent de ses péchés, confesse publiquement sa foi, et se fait baptiser pour le pardon de ses péchés, le salut lui est accordé (Marc 16.15,16). Et au même moment, le Seigneur l’ajoute à son Église (Actes 2.47).