Attitudes envers la mort

UGS : CV13-N1 | par

La mort provoque souvent la peur, le désespoir, la tristesse profonde et un sens de futilité. Cet article traite donc de l’attitude du chrétien face à ce phénomène. Que faire face à la mort ?

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Extrait — Attitudes envers la mort

Il n’y a pas de réalité plus universelle que la mort. Nous devons faire face à la mort de personnes qui nous sont très chères, et chacun de nous doit faire face à la certitude de sa propre mort. Dans certaines cultures on évite à tout prix d’en parler ou d’y penser. C’est un sujet qui met beaucoup de gens mal à l’aise. La mort provoque souvent la peur, le désespoir, la tristesse profonde et un sens de futilité. Même ceux dont l’existence sur terre est devenue très pénible à cause de la douleur, la solitude, ou d’autres circonstances difficiles souhaitent rarement que la mort vienne plus vite. Ils s’accrochent à la vie de façon tenace. Et quand la mort frappe nos bien-aimés, on réagit tantôt avec des pleurs et d’autres manifestations de détresse émotionnelle, tantôt dans l’engourdissement, tantôt dans la colère ou l’indignation.

Sur le plan émotionnel, le chrétien peut ressentir dans un premier temps les mêmes émotions que quiconque lorsque la mort le menace ou lui arrache, surtout de façon inattendue, une personne qu’il aime. […]

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Extrait — Funérailles chrétiennes

Différentes cultures ont différentes façons de faire quand une personne meurt. Certaines pratiques sont moralement neutres : ce sont simplement des manières d’honorer la mémoire du disparu ou de consoler les endeuillés. D’autres pratiques sont contraires à la foi chrétienne. Quelle que soit votre culture, vous devriez discerner les activités dont l’enfant de Dieu devrait s’abstenir. Il serait bien de réfléchir dans nos assemblées pour identifier les pratiques funéraires qui conviennent au peuple de Dieu et celles qu’il serait mieux de rejeter.

Parmi les païens, par exemple, certains peuples ont l’habitude d’interroger le mort pour déterminer la cause de son décès, une pratique qui était formellement défendue dans la loi de Moïse (Deut. 18.10-14; Ésaïe 8.19). D’autres cherchent à protéger les proches du défunt des esprits maléfiques au moyen de cérémonies de purification au lieu de les confier au Dieu tout-puissant. […]

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