Chacun a-t-il droit à sa propre moralité ?

UGS : CV18-N3 | par

La moralité d’une action dépend-elle entièrement de la situation et de la motivation ? N’y a-t-il des actions qui sont mauvaises en soi ? Y a-t-il des règles absolues qu’il faut respecter en toute circonstance ? Ce numéro examine la question de la moralité relativiste du point de vue de la logique et surtout de la Bible.

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Extrait — Chacun a-t-il droit à sa propre moralité ?

Quand il est question de moralité, le point de vue relativiste est très populaire de nos jours. Les gens pensent que le bien et le mal varient selon la société, l’époque, la situation ou la personne. Certains non-croyants vont jusqu’à nier le concept du Bien et du Mal. La moralité est-elle donc relative ? Ou bien, peut-on parler de principes moraux qui sont éternels et universels, des règles auxquelles toute personne devrait obéir ?

Aucun principe moral universel ?

Chez les non-croyants on trouve des individus qui prétendent que le Bien et le Mal n’existent pas en réalité. Si l’univers n’était que matériel, si l’homme n’était qu’une collection fortuite de molécules, une telle conclusion ne serait pas déraisonnable. Les valeurs morales n’existeraient pas sans Dieu et sans la certitude que « Dieu amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal » (Ecclésiaste 12.16). […]

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