Les titres religieux / La grâce s’en occupera-t-elle ?

UGS : CV3-N2 | par , ,

L’enseignement biblique concernant l’emploi des titres portés par les hommes dans la religion

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Extrait — Les titres religieux

Nombreux sont les titres que les hommes portent dans la religion. Selon la dénomination on peut trouver « père », « pasteur », « devancier », « président », « apôtre », « diacre », « président de la jeunesse », « évangéliste suprême », « monseigneur » et bien d’autres. Pour celui qui veut suivre la Bible ces titres posent au moins trois sortes de problèmes : 1) Il s’agit souvent de titres et de rôles qui ne sont pas autorisés par la Parole de Dieu ; 2) quand il s’agit de titres ou de rôles bibliques, beaucoup de ceux à qui l’on donne les titres de nos jours n’ont pas les qualifications exigées par la Bible ; 3) ces titres sont généralement employés en violation de l’enseignement de Jésus en Matthieu 23 au sujet des honneurs.

I. La question de l’autorité biblique

Quand Jésus avait chassé ceux qui faisaient du commerce dans le temple de Dieu à Jérusalem, les responsables juifs vinrent à lui « et lui dirent : Par quelle autorité fais-tu ces choses, et qui t’a donné l’autorité de les faire ? […]

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Extrait — La grâce s’en occupera-t-elle ?

Il y a quelques années je connaissais un ancien de l’Église qui était franchement inexcusable. C’était un homme instruit, très doué dans sa profession. On lui faisait appel de partout ; on l’engageait pour des projets que lui seul était capable de réaliser. Il gagnait un salaire extraordinaire. Voilà pourquoi j’ai été si étonné le jour où, par hasard, j’ai appris qu’il ne donnait à Dieu que $10 (entre 7 et 10 euros ou entre 4500 et 6500 francs CFA) par semaine.

Étant l’un de ses amis, je l’ai rencontré chez lui pour parler de ce qui me semblait être de l’avarice. J’ai présenté des excuses pour l’avoir découvert, et je lui ai dit que je supposais qu’il faisait du bien ailleurs avec son argent. Mais je l’ai informé que dix dollars était une somme chiche, et un mauvais exemple au troupeau (si jamais la chose venait à jour). Il m’a écouté patiemment, puis il a confessé qu’en effet il ne donnait pas comme il fallait (il ne contribuait à aucune bonne cause quelconque) et que l’avarice avait toujours été l’une de ses faiblesses. […]

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