Une place et un nom préférables à des fils et à des filles

UGS : CV8-N6 | par

Consolation et conseils pour ceux qui n’arrivent pas à faire des enfants

0,07 $

En stock

Informations complémentaires

Poids ,2885 oz
Dimensions 20 × 25,5 × ,02 cm
Format

Grand dépliant

Pages

4

À télécharger

Lire en ligne

Extrait — « Une place et un nom préférables à des fils et à des filles »

Le désir de faire des enfants

Cela fait plusieurs années maintenant, mais je me la rappelle clairement, même aujourd’hui – la voix peinée d’un frère en Christ qui s’apprêtait à abandonner son épouse stérile afin de se lier à une autre femme. Conscient de la culpabilité de l’acte qu’il posait, mais excessivement frustré par son épreuve, il s’exclama : « D’abord, je suis pauvre ; et en plus, je n’ai pas d’enfants. Je ne peux plus le supporter ! »

Pourquoi vouloir des enfants à ce point-là ? Les raisons sont nombreuses. Les enfants apportent souvent une joie profonde. Leur beauté, leur innocence, leurs rires, leur amour sans façon, leur besoin d’être aimés et protégés, et beaucoup d’autres traits nous attirent et suscitent en nous des sentiments de tendresse et de générosité. Nous voulons des enfants pour les aimer, et cela est bon et normal, et presque universel. Selon les croyances et les valeurs de la société dont nous faisons partie, d’autres facteurs peuvent renforcer le désir de faire des enfants. […]

Voir l’article complet

Extrait — L’enfant prêté par Dieu

En plus de ceux qui sont sans enfant à cause de la stérilité (voir « Une place et un nom préférables à des fils et à des filles »), certains se trouvent dans une condition pareille parce que leurs enfants sont décédés. Eux aussi ont besoin d’accepter la volonté de Dieu et garder leur confiance en lui. Car après tout, nous ne sommes que de passage sur la terre, comme le dit si bien cet auteur inconnu :


L’enfant prêté par Dieu

« Je vous prêterai, pour un peu de temps, un enfant qui m’appartiendra » dit Dieu,

« Pour que vous l’aimiez tant qu’il vivra, et le pleuriez quand il sera mort.

Cela sera peut-être pour six ans ou sept, ou bien pour quarante-deux ou quarante-trois ;

Mais accepterez-vous, jusqu’à ce que je le rappelle, d’en prendre soin pour moi ? […]

Voir l’article complet